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Publié par Cire Cassiar

les eaux calmes et claires du Mozambique
les eaux calmes et claires du Mozambique

Un drôle de capitaine avec un curieux équipage, décide de partir, contre vents et marées, à la recherche du fabuleux trésor de Païtiti, village légendaire d’Amérique du sud.

Un Capitaine, des plus curieux, recrute un équipage hétéroclite dans un port d’Angleterre.

Cet étrange équipage embarque sur un voilier nommé La Catherine qui doit faire route vers le sud en direction de l’Amérique du Sud. Leur but, découvrir les fabuleuses richesses de Païtiti, village légendaire qui contiendrait des montagnes d’or. Ce que l’équipage ne sait pas c’est que le Capitaine Belalcazar n’en est pas à son premier coup d’essai, on dit même qu’il échoua plusieurs fois et en revint à chaque fois seul…

Parmi les membres d’équipage on retrouve deux amérindiens, Hug-Gluq et Vegook, et un personnage féminin énigmatique, Malebosse, qui apparait et disparait curieusement.

La traversée se déroule normalement jusqu’au large de l’Afrique ou l’équipée se retrouve immobilisé dans un super anticyclone, le bateau fait du surplace en pleine chaleur et la cuisinière doit faire preuve d’imagination pour satisfaire tout le monde autour de la table.

Soudain la brise se lève et apparait alors un bateau pirate, après une course poursuite ils sont attaqué par un pirate géant qui prend possession du navire.

Malgré tout, un peu perdu au milieu de cette équipée, le géant, qui se nomme Jean-philippe, se révèle être un compagnon hors du commun mais la tempête les fait dériver jusqu’au Nord ou ils échouent sur la banquise.

Prisonnier des glaces, ils abandonnent le navire et partent à pied en direction de ce qu’ils pensent être la terre ferme. Jean Philippe passe devant, servant ainsi de test pour vérifier si le groupe peut passer, malheureusement il passe au travers la glace et meurt congelé, ne voulant pas l’abandonner ainsi, ils décident de la porter à tour de rôle, lorsqu’ils rencontrent un esquimaux qui les invitent à venir se réchauffer sous son immense igloo, en compagnie de ses deux jeunes filles.

Une fois reposés et soignés par la famille esquimaude, ils repartent espérant ainsi retrouver la civilisation. Surprise…ils sont récupérés par une femme, qui devait les rejoindre plus tard; Les voilà dans un abri, sous la glace, cette personne leur indique le chemin pour sortir de la banquise par un tunnel, puis ils rencontrent d’autres personnages pittoresques ou après quelques péripéties ils atterrissent à Panama.

C’est là que commence leur périple vers Païtiti, au travers d’une jungle sans fin, portant toujours à tour de rôle le cadavre de Jean Philippe. La cuisinière doit faire des miracles pour nourrir son monde. A bout de force, échoué sur une colline entouré de zones inondées, leur guide fait appel à deux porteurs qui apparaissent à leur côté en quelques heures. Soulagé, ils n’ont plus à porter leur barda ainsi que Jean-Philippe.

Enfin, c’est l’arrivée dans l’eldorado tant recherché, ils sont accueillis chaleureusement, il leur est permis de prendre tout l’or qu’ils désirent et même de partir avec.

L’équipe est divisée, la cupidité enlève toute raison et certain sombre dans la folie.

Vous allez dire « mais où est passé le Mozambique » et bien cherchez le, en lisant ce récit rocambolesque ou le géant avoue être homosexuel, ou la cuisinière est amoureuse du capitaine mais ne lui dit pas, ou Malebosse est une magicienne énigmatique, ou les amérindiens sont des chasseurs d'ours, bref ou tous les personnages sont tous aussi étranges les uns que les autres dans une histoire tout aussi étrange ou l'humour et le délire se côtoient à chaque page.

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