Vous avez un titre en tête mais vous ne savez pas s'il va vous plaire ? consultez la liste des résumés de livres, peut-être y est-il.
Ponctué de quelques réflexions et textes originaux, ce site devrait vous distraire ou vous faire réfléchir.
Un avion britannique, de type Trident, affrété par l’ONU, transporte à son bord une équipe très disparate, composée de sage-femme, infirmière, bucherons, mécaniciens, médecins et autres corps de métiers, la plupart d’origine finlandaises et suédoises.
Nous sommes vraisemblablement dans les années 70 et tout ce beau monde, accompagné par le journaliste narrateur, doit se rendre en Inde et au Bengladesh pour des missions humanitaires.
De violents orages causant de multiples pannes, contraignent l’appareil à effectuer un amerrissage forcé dans le Pacifique, fort heureusement à proximité d’une ile, près d’une barrière de corail.
Toute cette communauté, doit maintenant s’organiser pour survivre sur une ile déserte, au milieu de nulle part, mais aussi doit s’organiser socialement et repartir de zéro avec les acquis sociaux et les différences de langues et culturelles.
Il n’est pas facile de recréer une société sans heurt, surtout quand certains se croient perdus pendant que d’autres espère être sauvés ou semblent s’installer pour de bon.
Imaginez vingt-huit femmes et vingt-six hommes, relativement jeunes, ensemble sur une plage de sable blanc, à l’abri des cocotiers et cela ne prend pas beaucoup de temps avant que la nature ne reprenne le dessus, ce qui provoquera un sérieux casse-tête.
Et il en faut des têtes pensantes, humainement responsables et dirigeantes pour arriver à provoquer un consensus, éviter les conflits et réorganiser un semblant de société.
Mais il faut aussi être très créatif, imaginatif et positif pour élaborer un plan de sauvetage au milieu du Pacifique à une époque où le GPS et les balises de détresse ne sont pas encore nées.
Le temps faisant son œuvre, une utopie s’organise, si bien que lorsque les sauveteurs arriveront huit mois plus tard, certains ne voudront plus quitter ce coin de paradis.
Ce qui provoquera un clash monumental au sein de ce microcosme et un conflit armé avec les sauveteurs.
L’auteur fait preuve de beaucoup d’humour, de dérision et d’imagination pour dénouer l’impasse et ramener tous les belligérants dans le giron de notre belle société démocratique.
Cet ouvrage, empreint de philosophie et de constat, porte à la réflexion sur la nature humaine et son humanité.
Un très bon thriller comme savait si bien le faire Michael Crichton.
Voici mon résumé provenant de La maison d'édition Robert Laffont de 1999.
Sur une route, au milieu du désert du Nouveau Mexique, un automobiliste manque de justesse d’écraser un homme qui titube et s'écroule sur la chaussée; Apparemment gravement blessé, habillé de vêtements d’une autre époque, celui-ci marmonne « Castelgard » mais à son arrivée à l'hôpital, il meurt entre les mains des médecins qui ne comprennent rien de ses blessures et micro déformations physiques aussi bien externes qu’internes.
Sans autre pièce d'identité pour l’identifier qu’un simple pendentif portant le sigle de l’ITC (International Technology Corporation), ils font appel au Sheriff, mais peu de temps après, un employé de l’ITC se présente pour réclamer le corps et tous les documents médicaux, sur ordre de Robert Doniger, haut responsable de l’ITC.
Parallèlement, dans une vallée de la Dordogne, sur le site archéologique de Castelgard, l’archéologue Edward A. Johnston, et son assistant, André Marek, d’origine écossaise, évoquent de la bataille qui eut lieu en avril1357 pendant la « Guerre de Cent ans » dans le château de La Roque qui surplombe le village et le monastère.
D’après l’histoire, les Anglais, commandés par Lord Oliver, auraient été assiégés par l'armée française, dirigée par le seigneur Arnaut.
Lord Oliver qui cherchait à décourager les Français, pendit sa prisonnière, Dame Claire, la sœur du seigneur Arnaut. Mais cela eut pour effet de provoquer la réaction inverse et la bataille ne dura qu'une nuit.
Après avoir reçu un appel, pour le moins bizarre, du Sheriff du Nouveau Mexique, le professeur Johnston, dont les recherches sont commanditées par L’ITC, devient perplexe quant aux motivations réelles de Doniger et décide d’aller sur place pour savoir de quoi il en retourne.
Pendant ce temps, Marek et son équipe, Kate et Chris, fils du professeur, explorent un effondrement, près du monastère, qui met à jour une galerie; Ils y découvrent une toile cirée contenant divers documents et un verre de lunettes; Il s’avère, qu’après datation au carbone 14, celui-ci correspond aux lunettes de rechange du professeur Johnston…
Il y avait aussi un parchemin daté du 2 avril 1357, signée de la main même du professeur, et qui semble demander de l’aide, les spécialistes confirment qu'elle date bien de six cents ans.
Subjugué par cette découverte, Chris téléphone à Doniger pour lui demander ce qu'est devenu son père et à la suite de ses réponses évasives, il le menace de porter plainte.
Doniger l’implore de venir au centre de recherche d'ITC avec son équipe, Marek, Kate, Josh et François.
Arrivés sur place, Doniger leur fait la révélation que l’ITC cherche à construire une machine de téléportation et qu’à ce jour ladite machine a permis de créer, après quelques essais plus ou moins heureux, un unique passage stable entre le Silver City d’aujourd'hui et le Castelgard de 1357, ce qui explique la raison des fouilles commanditées.
Lorsque le professeur Johnston est venu quelques jours auparavant, il a décidé d’utiliser le passage pour aller voir dans le passé à Castelgard, il était accompagné d’une escorte d’anciens militaires mais ne sont pas revenus.
Doniger propose à Chris et à ses camarades de partir à leur recherche, grâce à cette machine, pour les ramener dans le présent.
Il leur remet à chacun un pendentif ITC, une sorte de balise, qu'ils peuvent utiliser pour déclencher leur voyage de retour et il leur adjoint deux ex-militaires, comme soutient tactique.
Mais rien ne se passe comme prévu, à peine sont-ils arrivés en 1357, pris dans la tourmente, qu’ils sont attaqués par des cavaliers.
L'un des deux militaires est tué sur le champ et le deuxième, gravement blessé, dégoupille une grenade en activant son pendentif pour être rapatrié, cependant celui-ci est mortellement blessé, arrive mort dans le présent alors que la grenade explose en endommageant la machine, condamnant ainsi le reste de l’équipe.
Les dégâts, considérables, rendent celle-ci inutilisable, l’équipe d’ITC, contre l’avis surprenant de Doniger, tente absolument de la réparer pour assurer le retour de l’équipe de Chris, le temps leur est compté.
Au moyen âge, pris dans un conflit qui les dépasse, l’équipe se retrouvent tantôt prisonniers, tantôt malmenés mais finissent par retrouver le professeur qui se fait passer pour une sorte de mage, celui-ci tente de les protéger en les faisant passer pour ses assistants.
Les voila embarqués dans une course contre la montre, car s’ils veulent revenir, ils doivent respecter un délai de trente-sept heures pour être au rendez-vous.
Au monastère, nos comparses rencontrent Dame Claire et constatent que le cours de l'histoire a été altéré car celle-ci est encore vivante.
Marek tombe aussitôt amoureux d’elle et fait tout pour la délivrer de ses bourreaux.
Durant les combats, ils doivent affronter, Dekere, un ex-membre frustré de l’ITC, qui a fait le voyage avant eux, celui-ci est, entre temps, est devenu un farouche chevalier dans le camp adverse.
Ils doivent utiliser toutes leurs ressources pour échapper à Dekere et au pire, ils doivent atteindre un lieu dégager, avant la fin du délai de trente-sept heures, afin d’activer leur dernière balise de retour.
A l’instant ultime, Marek, passionné de moyen âge, décide de rester pour y vivre avec Dame Claire.
Le reste de l’équipe, accompagné du professeur, réussissent enfin à retourner au temp présent.
Quant à Doniger, qui avait tout fait pour retarder les réparations des assistants Josh et Kramer, est envoyé, en représailles, en 1357 ou il y finit tuer par un chevalier.
Plus tard, l’équipe et le professeur retourneront aux ruines de Castelgard pour y découvrir le sarcophage de Marek et Dame Claire, apprenant ainsi qu’ils survécurent à la guerre de cent ans, se marièrent et eurent trois enfants.
Auteur : Eric Raissac aux éditions Edilivre / ISBN : 978-2-414-20415-1 / 2018 - 92 pages ----------------------------------------
Au Matin de son cinquantième anniversaire, un homme croise le regard d'un chat noir et se retrouve prisonnier d'un sortilège.
Il est entraîné malgré lui dans des mésaventures rocambolesques, ou les déboires et évènements insolites s'accumulent sans qu'il ne comprenne ce qui lui arrive.
Dépossédé de tous ses biens, seul, "égaré", il tente tant bien que mal de survivre au fil des rencontres plus absurdes les unes que les autres.
Passer le cap d'une nouvelle dizaine ne se fait pas sans peine et ce cauchemar éveillé est une surprenante métaphore des inquiétudes liées au fait de vieillir.
Peter Mayle – Ed Nil 2016 – 202 pages; ISBN 978.2.7578.6060.1--------------------------------------
On est bien loin des premiers livres comme « Une année en Provence » « Hôtel Pastis » ou encore « Château l’arnaque » je ne sais pas si c’est une commande parce qu’il y en a trois si l’on ajoute « Embrouille en Provence et Embrouille à Monaco » ou si Peter Mayle a voulu s’amuser mais « Embrouille en Corse » se lit sans effort intellectuel et avec une intrigue assez facile à deviner ;
Certes ce n’est pas un chef-d’œuvre d’écriture et certainement pas un best-seller, ce n’est rien d’autre qu’un petit polar d’été parmi tant d’autres.
C’est l’histoire d’un homme riche et discret, Francis Reboul, héros de plusieurs de ses romans, qui habite une luxueuse maison admirablement bien située géographiquement dans les environs de Marseille.
Arrive un richissime russe, Oleg Vronsky, dont le passé douteux ne laisse présager rien de bon, ce dernier se cherche une maison sur la côte et bien évidemment il découvre celle de Reboul et la veut absolument.
Pour cela il est prêt a tout, même jusqu’à engager des tueurs à gage russes qui eux vont engager des tueurs à gage corses mais ce qu’il ne sait pas c’est que notre ami Reboul a beaucoup de relations, y compris dans la police et en Corse.
On commence par un verre de rosé puis on y boit du champagne à toutes occasions, comme si les riches ne buvaient que cela, on fait de bons repas bien arrosés, on se déplace en voiture avec chauffeur et en jet privé bien entendu. Bref ! Un peu d’intimidation, un soupçon de surveillance, quelques relations curieuses avec la mafia corse, mais rien qui vaille la peine de s’y attarder, tous les ingrédients sont là pour en faire un petit roman policier mais la sauce ne prend pas.
On a du mal à y croire, c’est très superficiel, une écriture de débutant.
Pour ceux qui ont aimé les autres œuvres de Peter Mayle, je le déconseille, pour ceux qui ne connaissent pas, c’est un bon début sans prétention.
"La vie n’a de sens que si on l’échange peu à peu"
Cette petite phrase, ou cet aphorisme, est extraite de l’œuvre posthume de Saint Exupery
"Citadelle"
Ce n’est pas un roman, c’est une œuvre philosophique, spirituelle, une réflexion sur le monde, sur la nature humaine.
Je dois admettre que ce n’est pas à la portée de tous, le texte est parfois obscur, voir incompréhensible et on se demande même ou il nous amène.
"Je vis non des choses mais du sens des choses"
En réalité ce texte, très imparfait, n’est qu’un brouillon, il a été reconstitué à partir de feuillets manuscrits et dactylographiés, il est empreint d’humanisme, de morale et de spiritualité.
Cet ouvrage, quasi biblique, a été entamé en 1936 et n’a jamais été achevé, il le disait lui-même "Je n’aurai jamais fini… C’est mon œuvre posthume !"
Malgré cela, il s’est engagé dans ce conflit meurtrier en 1944, à bord de son P38, sans mitrailleuse pour se défendre, comme s’il connaissait la fin.
"Est sans signification ce qui n’est point ascension ou passage"
Ceux qui ont aimé "Vol de nuit", "Terre des hommes", "Pilote de guerre" ou "Courrier sud" peuvent ne pas reconnaître l’homme d’action dans "Citadelle" et pourtant c’est bien le même qui a écrit, après son tout premier vol à l’âge de 12 ans…
Auteur : Antoine de St Exupery – Ed. Folio – 1994 – 188 pages-------------------------------------------
vol de nuit de St Exupery
Difficile de faire le résumé d'une œuvre aussi immense, chargée d’autant d’émotion, d’images fortes et de récits poignants.
Alors j’inviterais les futurs lecteurs à plonger, sans hésiter, dans cet univers, avec l’esprit grand ouvert, afin de côtoyer ces hommes qui ont fait l’histoire de l’aéropostale, ces hommes dévoués, passionnés, ces héros d’un autre temps, s’ils n’avaient pas fait autant de sacrifices, nous en serions a traverser l'Atlantique à la vapeur.
Le confort des postes de pilotage des avions d’aujourd’hui est bien loin de celui des pionniers de l’aéropostale et pourtant la tradition d'applaudir le pilote à chaque atterrissage est toujours présente.
Vol de nuit est le récit détaillé d’un valeureux pilote, comme tant d’autres, et de son radio navigateur qui partirent de Patagonie pour Buenos Aires et se perdirent dans les brumes de la nuit à court de carburant;
C’est le récit d’un chef implacable, responsable de ces hommes, qui malgré son air sévère, tremble à chaque fois qu’un pilote manque a l’appel;
C’est l’histoire de cette épouse qui espère, qui blêmit, qui frémit et qui pleure de n’avoir aucune nouvelle de celui qu’elle attend en vain;
C’est un récit à la fois littéraire et documentaire qui nous rapproche de ces héros ou l’acceptation du devoir passe avant toute chose… on est bien loin de la notion de courage.
Auteur : Richard Bach – 1974 – Ed. J'ai lu – 245 pages--------------------------------------------------
Cet ouvrage est un cadeau pour ceux qui regardent le ciel quand ils ont les pieds sur terre.
Richard Bach, ce passionné d’aviation, nous fait revivre ses acrobaties aériennes pour le tournage d’un film, ses vols épiques aussi bien en F86F Sabre qu’a bord de son petit biplan des années trente à cockpit ouvert.
Un vol de nuit en patrouille serrée à 35 000 pieds d’altitude ou un atterrissage chaotique par vent arrière sur un petit terrain en herbe dans l’Iowa.
Sa traversée des États Unis d’Est en Ouest, 6 000 km en compagnie de son épouse dans ce vieux biplan ou se parler était quasi impossible.
Les atterrissages en rase campagne, dans des près, dormir à la belle étoile sous l’aile de son avion, réparer son moteur en plein champs avec l’aide d’amis amateurs d’aviation, Richard à l’art et la manière de choisir les mots pour nous emporter comme passager clandestin dans son avion au milieu des averses de pluie ou au coucher du soleil dans l’Arizona.
Il en profite au passage pour nous faire réfléchir sur notre avenir, sur la lourdeur administrative qui entrave toute liberté, sur la façon dont nous devrions enseigner l’aviation aux plus jeunes, Richard Bach est un pilote philosophe de la même trempe que St Exupery.
Cet ouvrage est un cadeau du ciel pour tous ceux qui aiment l’aviation et tout ce qui vole.
James Michener – Ed Mazarine – 1984 – 574 pages--------------------------------------------------
Le roman du programme spatial américain, depuis le passage à l’ouest des savants allemands sous le nez des Russes en 1945, jusqu’au premier pas sur la Lune en 1969.
C’est l’histoire de quatre hommes et quatre femmes avec des personnalités hors du commun dont le destin les place au cœur des évènements.
Ces héros, puisqu’on doit les considérer comme tel, ont fait de la conquête spatiale leur raison de vivre et l’on comprend, grâce à eux, tous les rouages de ce projet colossal, les enjeux nationaux et internationaux, les débats et les rivalités scientifiques, les joutes politiques et les luttes d’influence.
On y croise des personnages légendaires comme Von Braun, le père de la fusée Saturne, on assiste à la création de la NASA, on participe à la course contre l’URSS et aux premiers vols de Gemini et Apollo.
Ce roman historique et scientifique est si bien écrit que l’on pourrait y croire d’un bout à l’autre, appuyé sur des faits réels, la chronologie est parfaitement respectée et les personnages principaux, plus grands que nature, permettent au lecteur de revivre cette épopée comme s’il l’avait vécu à leurs côtés.
C’est un roman passionnant qui se lit facilement et ou l’on regrette d’arriver à la 574e page, on aimerait qu’il y ait une suite…
Concerto de grenades – Jerry Cotton – ed. Marabout – 1964 – 188 pages --------------------------
Au petit matin, un camion militaire, transportant plus de trente caisses de grenades, quitte la route brutalement et s’écrase dans le fossé. Un accident ? Un sabotage ?
Un petit poisson parmi les gangsters du Bronx, qui passait par là, assiste à l’accident mortel et découvre la cargaison.
Il ne lui en fallait pas plus pour comprendre qu’il y avait là une affaire en or.
Après avoir planqué sa cargaison explosive, il se rend à New York dans l’intention de monnayer sa trouvaille, il était loin d’imaginer qu'une telle quantité de grenades allait attirer la convoitise, déclencher une surenchère et réveiller l’animosité latente entre les différents chefs de clan.
Un, plus malin que les autres, n’hésitera pas à éliminer les gêneurs pour s’emparer de la cargaison tout en laissant croire que c’était l’un des autres chefs du Bronx, avide de pouvoir, ce qui provoque une guerre fratricide, orchestré bien entendu à coups de grenades afin de brouiller les pistes, car bien entendu tout le monde soupçonne tout le monde.
L’armée, inquiète pour l’avenir de son lot de grenades et sur les dégâts que cela pourrait occasionner, se tourne vers le FBI.
La tension monte et les cadavres s’accumulent.
C’est sans compter sur l’enquêteur Jerry, fin limier, perspicace et expert en combat rapproché, qui finira par dénouer tous les fils et découvrir le pot aux roses, à la grande surprise de la plupart des intéressés.
Car personne n’aurait pu soupçonner celui qui était à l’origine de ce concerto.
Olivier et Patrick Poivre D'Arvor – les éditions Mengès – 0ct 2002 -----------------------------------------------------
À ceux qui ont rêvé ou rêvent de voler ;
À ceux qui ont rêvé ou rêvent encore de voyages, d’aventures, de découvertes et de grands espaces ;
À ceux qui auraient aimé côtoyer des St Ex, Mermoz, Guillaumet, Daurat, Nungesser et tant d’autres noms illustres qui ont sillonné le monde, tracé les routes aériennes et défriché le ciel dans leurs engins de fou.
À ceux qui se passionnent pour tout ce qui vole;
À ceux qui aiment les histoires de camaraderie, les hommes de cœur, les légendes;
« Courriers de nuit » est un magnifique témoignage, agrémenté de photos de bonne qualité, connues ou inédites, de textes bien tournés, nous faisant revivre cette folle épopée qu’est l’Aéropostale ou des hommes, hors du commun, nous ont ouvert le chemin en se lançant dans des traversées impossibles, au-dessus de contrées lointaines sur des avions mythiques.
Cet ouvrage est une pure merveille et je le conseille à tous ceux qui s’intéressent à notre histoire de l’aviation, il se lit comme un peu comme un roman d’aventure.
Les auteurs ont su nous faire revivre cette époque ou l’homme était encore au centre de tout.